




Notes de lecture à propos de "Les hommes, leurs amours et leurs sexualités"
DAUDIN Michel
Date publication : 27/01/2022

Notes de lecture à propos du roman de Nazir Hamad "La bille bleue"
BEAUMONT Jean-Paul
Date publication : 07/01/2022


Notes de lecture à propos du livre de François Cornut-Gentille "SAVOIR POUR POUVOIR"
LEBRUN Jean-Pierre
Date publication : 19/11/2021


Une étoile lacanienne a surgi dans la nuit anglo-saxonne de la psychanalyse.
AMIEL Gérard
Date publication : 21/10/2021


Federico Bravo, Linguisteries, Pour une grammaire des affects
GENET Hélène
Date publication : 14/07/2021






Note de lectures à propos de "Voyage au cœur de la représentation"
DOKHAN CSERGO Michèle
Date publication : 04/01/2021

L'éloge du retard : Où le temps est-il passé ? d'Hélène L'heuillet
FROISSART Josiane
Date publication : 18/11/2020



Sandor Ferenczi, L’enfant terrible de la psychanalyse par Benoît Peeters
LEBRUN Jean-Pierre
Date publication : 22/09/2020

Note de lecture " Grandeur et misère de la langue De l’errance à l’aliénation : la banalité du mal"
FERRON Catherine
Date publication : 04/09/2020

NOTE DE LECTURE «MADAME, LETTRES D’UNE SCHIZOPHRÈNE À SA PSY»
COLLINET Philippe
Date publication : 06/07/2020


Les affranchis (interview)
PITAVY Thatyana, ROTH Thierry
Date publication : 19/06/2020
Interview de Thierry Roth par Thatyana Pitavy au sujet de son livre "Les affranchis"

« Petites notes estudiantines »
CHASSAING Jean-Louis
Date publication : 08/06/2020
Tout d’abord il n’est pas inutile de lire, ici dans cet essai éminemment complexe, ce que l’auteur tente de préciser : qu’en est-il de la jouissance dans la psychanalyse lacanienne ? Le mot est tellement utilisé à l’envi, et les quelques livres parus à ce sujet sont restés un peu hermétiques ou « simplifiés », même si les auteurs ont tenté une approche réflexive voire didactique. Il y a bien sûr, à lire aussi...


NOTE DE LECTURE « RÉEL DE LA SCIENCE, RÉEL DE LA PSYCHANALYSE »
CLAVEIROLE Paul
Date publication : 07/05/2020



À propos du livre de Thierry Roth « Les affranchis »
CHASSAING Jean-Louis
Date publication : 24/02/2020


Note de lecture « Mais qu’est-ce que c’est donc un Noir ? » de Jeanne Wiltord
MALFAIT Anne
Date publication : 08/01/2020



Marcel Gauchet, Robespierre. L’homme qui nous divise le plus, Paris (Gallimard, L’esprit de la Cité), 2018
FAUCHER Jean-Marc
Date publication : 07/05/2019







LA TRANSMISSION MATERNELLE, À QUELLES CONDITIONS?
BÉLOT FOURCADE Pascale
Date publication : 07/02/2019

NOTE DE LECTURE À PROPOS DE L'OUVRAGE "LE LAMBEAU" DE PHILIPPE LANÇON
ESTENNE MARC
Date publication : 04/02/2019


Sur le livre de Christiane Lacôte-Destribats, Passage par Nadja
HASENBALG-CORABIANU Virginia Alicia
Date publication : 18/07/2018

À propos du livre de Christian Fierens et Franck Pierobon, Les pièges du réalisme, Kant et Lacan
NOTTET Pascal
Date publication : 28/06/2018

"Les pièges du réalisme", de Frank Pierobon et Christian Fierens
CATHELINEAU Pierre-Christophe
Date publication : 26/01/2018

À propos du livre d'Ali Magoudi, N’ayons plus peur !
CATHELINEAU Pierre-Christophe
Date publication : 11/01/2018

Sur Hubert Ricard, De Platon à Wittgenstein, Lectures lacaniennes
L'HEUILLET Hélène
Date publication : 11/12/2017


À propos du livre "Robinson de Laurent Demoulin, par Jean-Pierre Lebrun
LEBRUN Jean-Pierre
Date publication : 25/11/2016

Ombres en nombre - Warhol unlimitted
MASSAT Alice,
Date publication : 16/12/2015
Par Alice Massat Warhol unlimitted au Musée d’Art Moderne de la ville de Paris, jusqu’au 7 février 2016

Aimée F., Nicole Anquetil, Les Voix, Témoignage, Paris, Payot, Juillet 2014
BÉLOT FOURCADE Pascale
Date publication : 20/02/2015
Ce livre est la rencontre d’une patiente qui s’est donné elle-même, pour les nécessités éditoriales, le pseudonyme d’Aimée F., et d’une analyste lacanienne, Nicole Anquetil. Étrange coïncidence sur le pseudo. : Aimée F. ignore totalement l’Aimée de Lacan ; Aimée est son deuxième prénom et F. l’initiale du patronyme maternel. Ne restons pas non plus sur la pure coïncidence et soulignons plutôt la justesse clinique de Lacan quant à l’érotomanie, ici minimale, inhérente à la folie des femmes.

Le style c’est l’homme. Élizabeth Roudinesco : Sigmund Freud en son temps et dans le nôtre, Paris, éd. du Seuil, 2014
DUFOUR Alain
Date publication : 16/01/2015


Victor Khrisanfovitch Kandinsky, Sur les Pseudo-hallucinations
FAUCHER Jean-Marc
Date publication : 21/10/2014
Traduit du russe par Anik Maufras du Chatellier, Paris, L’Harmattan, collection Psychanalyse et civilisations, mai 2013 « En ce qui concerne la P. H. C., […] nous en sommes toujours au niveau du balbutiement. Nous ne savons pas ce qu’est à proprement parler une hallucination. […] Nous ne sommes pas même capables de dire s’il [le patient] entend vraiment quelque chose. » (J. Lacan, 1970[1]) Nous pouvons remercier Anik Maufras du Chatelier pour cette première traduction de l’important travail de V. K. Kandinsky, Sur les pseudo-hallucinations, publié à Saint-Pétersbourg en 1885, de même que Jacques Chazaud qui l’a accueillie dans la série qu’il dirige chez L’Harmattan. Il est étonnant que Kandinsky n’ait pas été jusque là accessible en langue française (une recherche Google ouvre sur une page entière d’articles, tous en langue anglaise). À l’inverse, Kandinsky montre une connaissance approfondie des travaux des aliénistes européens. Il va par exemple jusqu’à nous fai

À propos du livre de Jean-Marie Forget, Y a-t-il une différence sexuée ?
RENARD Stéphane
Date publication : 17/06/2014
Jean-Marie Forget publie chez Éres, Y a-t-il encore une différence sexuée ? Rien de plus éclairant pour la différence sexuée que de présenter l’analyse des positions de l’un et celle de l’autre sexe en deux chapitres distincts. La topologie de l’énoncé performe ainsi les propos déclinés par l’auteur. Il présente dans cet ouvrage l’énonciation d’un sujet arrimé au réel de la différence sexuée dont il est lui même objet : les hommes et les femmes ont la langue en partage, mais leurs positions subjectives au regard du réel qu’elle constitue ne sont pas les mêmes. Ils ne sont pas dans le même espace. C’est ce qu’il convient d’étudier car c’est en cela, c’est là que réside la différence sexuée. Il est patent que si la langue réunit bien les deux sujets sexués à l’étude, s’assurer de l’usage qu’en fait chacun des deux « genres » mérite attention. C’est ce dont il s’agit ici. La parole aurait en effet à nous permettre de faire reconnaît

Des choses absolument folles. Une lecture du roman Le Très-Haut de Maurice Blanchot
CHASSAING Jean-Louis
Date publication : 15/10/2013

Le sujet postmoderne entre symptôme et jouissance, de R. Pirard
DE SAINT-JUST Jean-Luc
Date publication : 15/10/2013
L'ouvrage de Régnier Pirard s'inscrit dans la lignée de travaux contemporains des quelques psychanalystes, dont Jean-Pierre Lebrun, Charles Melman, Roland Chemama pour ne citer que ceux-là, qui ont choisi d'interroger ce qui, au-delà de l'espace du divan, était à l'oeuvre dans le lien social d'aujourd'hui. Il apporte ainsi sa pierre critique à un édifice conceptuel en construction, mais avec un style et un parcours singulier qui fait le précieux de cet ouvrage. Il nous propose, dans un cheminement qui témoigne d’un travail sur de nombreuses années consacré à ces questions, une élaboration conceptuelle très étayée de ce qu’il nomme le sujet postmoderne. Entrant de plein pied dans la question de la nouvelle économie psychique, il pose dès son second chapitre, en jouant habilement de l’équivocité, la question sur laquelle il ne cessera de tisser son argumentaire pour dénoncer les travers et les illusions de la postmodernité : « ce passé du père ». Faisant des allers-retours const

À propos de La clinique lacanienne n° 22, Psychosomatiques ?
BÉLOT FOURCADE Pascale
Date publication : 15/10/2013
À la suite d'un problème technique ce texte a été involontairement tronqué. Nous en rétablissons la lecture complète. Saluons le N°22 de La Clinique lacanienne paraissant sous le titre : Psychosomatiques ? L’AFI avait en 1988 organisé des Journées sur le thème de la psychosomatique, très innovantes. Mais depuis, ce champ s’était en quelque sorte refroidi ou bien les mutations en gestation n’avaient pas imposé de reprendre ces questions qui concernent les psychanalystes en ce qu’ils sont eux-mêmes entraînés dans ces remaniements. Le pas vient d’être fait. C’est une question de temps, de temporalité, de prise dans le temps que ce Numéro aborde, en faisant valoir comment l’évolution de la médecine et ses conquêtes ont pu suturer le questionnement sur le corps, celui dont nous parlons, celui pris dans le langage, comment les déplacements des discours, les développements d’une économie marchande et les mutations des jouissances « qui ne sont plus marquées de la même man

