La célibataire n° 31. Réflexion sur les impossibles transmissions de la psychanalyse

Réflexions sur les impossibles transmissions de la psychanalyse
Le lecteur pourra s’étonner de ne pas trouver dans ce volume l’image rassurante d’une transmission de la psychanalyse qui correspondrait à celle d’un savoir patenté et idéalisé. C’est, en effet, dans cette faille du savoir de l’homme sur lui-même qu’une réflexion se poursuit à partir de l’œuvre de Freud réinterrogée par Lacan, ses élèves et quelques autres. La Célibataire propose en ce volume un ensemble de réflexions sur les processus qui font transmission en psychanalyse.
CHASSAING Jean-Louis : Coup d’envoi. Transmettre la psychanalyse
MELMAN Charles : Transmettre la psychanalyse
LERUDE Martine : Transmission impossible ou transmission du rapport à l’impossible ?
CHEMAMA Roland : Singulière transmission
PORGE Eric : Faire la paire avec les cas d’urgence
HILTENBRAND Jean-Paul : Note sur la transmission et la nature du savoir
CHASSAING Jean-Louis : Passe patout - transmettre et transfert
COERCHON Pierre : Quelle écriture pour transmettre la psychanalyse
PLASTOW Michael-Gérard : Sabina Spielrein, ou la transmission par lettres
GRAVELINE François : Par le poème
ZINS Céline : De quel jamais garde-t-on l’empreinte
CHAMBRE Yannick : Transmettre la musique
DARMON Marc : Transmission impossible ?
THEVENET Marion : Témoigner est-ce déjà transmettre ?
CALMETTES Sandrine : L’imitation de gestes
THIRIAT Jean : Solange Faladé et la transmission
CLAVEIROLE Paul et FERRON Catherine : Eclats de miroir : à propos de la transmission
JESUINO Angela : Transmission de la psychanalyse, ici et ailleurs
CZERMAK Marcel : “Transmission de pensée...différée”
GARRABÉ Jean : La diffusion de la psychanalyse dans les pays hispaniques
NACHT Marc : Des effets de notre modernité sur le nouage borroméen (RSI)
LEBRUN Jean-Pierre : « S’approprier » suivi de « Remarques à propos de la psychanalyse et de la vie collective »
MORALI Marc : Quelques remarques sur un objet “intransmiscible”
MELMAN Charles : Pour conclure