« Nous pourrions dire que notre désir est fondamentalement pervers en tant qu’il est organisé par un état de dépendance à l’endroit d’un objet dont la saisie réelle ou imaginaire assure la jouissance », explique Charles Melman pour introduire ce deuxième chapitre. À une semaine de la prochaine séance du nouveau séminaire consacré à son remarquable essai, voici quelques extraits qui donnent le goût de le relire.
Lien vers la lecture du chapitre II : https://youtu.be/Wb6ZmClS7Fc