Les Séminaires des Batignolles reviennent cette année….

Où ? 

À mon cabinet, au 33 bis, rue de Moscou 75008 Paris, M° Rome (ligne 2)  ou Europe (ligne 3), ou Liège (Ligne 13). 

Quand ? 

Le mercredi de 11h30 à 13h15

Je vous propose en alternance:

Quoi ? 

• Un mercredi sur deux, à partir du 17 octobre, hors vacances scolaires de Paris: Lecture du séminaire sur la Relation d’objet, où nous nous coordonnerons avec les lectures proposées tout au long de l’année dans le cadre des activités de L’Association Lacanienne Internationale, et où nous essaierons de présenter et soutenir, pour ceux ou celles qui le souhaitent, une participation au séminaire d’été, à Lisbonne, cette année.

• Un mercredi sur deux, à partir du 10 octobre, hors vacances scolaires de Paris: Reprise de la topologie, à partir du séminaire RSI, et suivants, où nous essaierons de nous coordonner avec le séminaire de Pierre Coërchon, Cyrille Noirjean et Thatyana Pittavy, le vendredi soir à 18h à l’ ALI, et où nous leur proposerons, s’ils le veulent bien, de venir régulièrement poser nos questions  

À qui s’adresse ce séminaire ?

Aux praticiens désireux de nouer les séminaires de Lacan à leur clinique, et de faire de ces séminaires un texte vivant et pas fossilisé, ni fétichisé.

Ceux et celles d’entre vous qui ont déjà l’expérience des séminaires des Batignolles savent que je privilégie depuis quelques années une lecture du texte ligne à ligne, car elle autorise le temps d’arrêt et de suspension qui nous permet de nouer le texte et notre pratique, ce qui me semble le noyau du travail. Il existe comme vous le savez une autre méthode, plus classique, où un collègue se dévoue pour présenter à tour de rôle une séance, mais je trouve que cette méthode, tout respectable et intéressante soit elle, peut induire, ce n’est pas toujours le cas, que seul le collègue en question ait travaillé, et les autres se contentant d’écouter. Et ainsi de semaine en semaine…. Et ce n’est profitable au final qu’au seul collègue qui a présenté l’exposé.. Le signe d’un groupe au travail, pour moi, c’est quand une question ou une association, ou l’évocation d'un trait clinique d’un patient fuse, interrompant sans que ça puisse attendre celui qui parle….  Sinon on est dans une lecture de savoir, très intéressante, mais comme vous le savez, c’est du S1, (ou du S2 à la rigueur en ânonnant), mais il en manque pour que ça circule et que ça ressemble à des psychanalystes au travail… 

Donc, il faut avoir une pratique, et se sentir suffisamment à l’aise dans le groupe pour pouvoir exposer spontanément sa clinique qui vient sans crainte de se sentir jugé comme un mauvais praticien, et sans l’avoir mâchonné quinze ans au préalable…

Une nouveauté cette année, nous nous proposons de nous ouvrir à d’autres collègues d’autres institutions, qui travaillent dans le quartier, le préalable minimal requis étant tout de même l’appui sur la psychopathologie freudienne et lacanienne. Les têtes nouvelles sont les bienvenues.

Comment ? 

Enfin, je pense qu’un groupe de six à huit personnes maximum est bien, parce qu’au-delà, il y a des effets de piétinement (comme à Châtelet les heures d’affluence) qui entravent la marche rapide.. il n’y aura donc pas de place pour tout le monde...

Prendre contact avec moi au préalable : 

Thierry Florentin 0662378974, ou par mail : thierry.florentin@orange.fr