Peut-on donner une définition de l’inconscient ? Il vaut mieux éviter de lui attribuer un « être » ou même une essence. Mais nous pouvons sans doute chercher, dans les différentes formules par lesquelles nous le caractérisons, ce qui pourrait orienter notre pratique de la manière la plus pertinente. C’est le cas si nous reprenons la célèbre phrase de Lacan : « l’inconscient, c’est la politique » (séminaire sur La Logique du fantasme, 10 mai 1967) que nous aurions d’abord à expliciter.
Programme de la première séance du séminaire
Ch. Lacôte Destribats – "Le refoulement hystérique, loin d’être conformiste, ne serait-il pas subversif ?"
B. Vandermersch – "Globalisation et ségrégation dans l'inconscient et la politique
R. Chemama – "L’inconscient politique et la différence des sexes"
Programme de la deuxième séance du séminaire :
Ch. Lacôte Destribats – "Quelques remarques sur l’injonction contemporaine de transparence"
B. Vandermersch – "Parler vrai" ; "L'insuccès de la politique c'est l'amour"
R. Chemama - "L'Inconscient politique et l'au-delà du principe de plaisir"
Programme de la troisième séance du séminaire :
R. Chemama – "De la question de la différence des sexes à celle de la domination masculine"
Ch. Lacôte Destribats – "Remarques sur l’injonction contemporaine de transparence. Suite. Peut-on s'identifier à des principes"