[𝘌𝘹𝘵𝘳𝘢𝘪𝘵] « Au moment de mon deuxième tatouage, j’avais 40 ans, j’avais envie d’écrire sur les sorcières et comme je suis à moitié galicienne espagnole, je me documentais et j’ai trouvé cette phrase : « Eu non creo nas meigas, mais habelas, hainas » (« Je ne crois pas aux sorcières, mais pour sûr elles existent ») et j’ai trouvé qu’elle était très emblématique du peuple galicien, entre croyances mystiques et rationalisme. J’ai bien aimé ce paradoxe et j’ai décidé d’aller me la faire tatouer, peut-être pour marquer ces racines là sur mon corps. »
RENDEZ-VOUS LES 6 ET 7 DÉCEMBRE 2025 à l’Espace Reuilly (Paris) et par zoom
Organisées par l’ALI, ces deux journées d’étude proposeront une analyse clinique des pratiques contemporaines de tatouage.
Nous vous attendons nombreux.
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